
LA DOUBLE INCONSTANCE
Jeudi 12 décembre 2024 à 20h30 RéserverThéâtre classique
DURÉE 1h25
de MARIVAUX
Après le long règne de Louis XIV, la Régence libère les idées et les mœurs. La "fête commence" mais pas pour tous ! La pièce de Marivaux La double Inconstance, jouée pour la 1ère fois en 1723, en est une belle illustration. Une jeune paysanne, Sylvia, sur laquelle le Prince a jeté son dévolu et qu'il prétend aimer et vouloir épouser, est enlevée sans consentement. La jeune fille aime cependant son Arlequin d'un amour pur et réciproque.
Qu'à cela ne tienne, le défi n'en sera que plus grand pour le Prince qui se sert de son acolyte Flaminia pour mettre en œuvre la machination de la double inconstance. Peu à peu, les amoureux sont pris au piège dans un implacable jeu de la tentation auquel il leur est impossible de résister. L'inconstance du monde, son instabilité, contamine qui croit être fidèle à ses propres émotions et pense n'être que le spectateur de ce déséquilibre sans y participer.
Mise en scène Jean-Paul TRIBOUT // Avec Marilyne Fontaine, Emma GAMET, Agathe QUELQUEJAY, Thomas SAGOLS, Baptiste BORDET, Xavier SIMONIN et Jean-Paul TRIBOUT // Production SEA-ART
Crédit photo ©Le verrou de Jean-Honoré Fragonard
TARIF B
Plein tarif : 23 €
Tarif jeune de 18 à 30 ans : 14 €
Tarif réduit : Étudiant // demandeur d’emploi // - 18 ans // Pass Culture // personne en situation de handicap et accompagnateur : 8 €
Tarif accompagnateur abonné / adhérent / place supplémentaire abonné : 18 €
Tarif groupe par personne à partir de 10 personnes : 15 €
Pass famille : 1 enfant (-18 ans) et 1 adulte (soit la place enfant offerte) : 23 €
Tarif spécial : Bénéficiaire du RSA * // Bénéficiaire du minima vieillesse * : 2 €
*RSA // Minimum Vieillesse : renseignements au 01 34 18 65 10
Les mercredis et vendredis de 14h à 18h
Les samedis de 14h à 18h, uniquement les jours de spectacle
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Fermetures : dimanche (sauf spectacle), lundi, jours fériés et fermetures annuelles (vacances scolaires)
Avis presse
Je souhaite proposer une version tirant vers la comédie, non pas pour gommer les aspects terribles de l'oeuvre, mais au contraire pour souligner la cruauté du libertinage, de la méchanceté galante, cette cruauté d'esprit réfléchie qui régnait à l'époque dans un jeu sans pitié.